Saint-Orens est un petit village français situé dans le département du Gers et en région Occitanie (ancienne région Midi-Pyrénées) près de Toulouse. Ses habitants sont appelés Saint Orennais.
La ville s’étend sur 4,3 km² et compte 83 habitants depuis le dernier recensement de 2004. Avec une densité de 19 1 habitants au km², Saint-Orens a enregistré une nette augmentation de 10,7% de sa population par rapport à 1999.
Entouré des villes du Touget, Mauvezin et Saint-Sauvy, Saint-Orens est situé à 18 km au nord-ouest de la plus grande ville de la région, L’Isle-Jourdain.
Situés à 180 mètres d’altitude, la rivière Gimone, le ruisseau Houlangue et le ruisseau Lugat sont les principaux cours d’eau qui traversent la ville de Saint-Orens.
Pour toutes les démarches administratives, vous pouvez vous rendre à la Mairie Saint Orens de Gameville au 46 avenue Gameville 31650 aux horaires suivants : du lundi au vendredi de 8h30 à 17h30 et de 8h30 à12h le samedi.
Mairie Saint Orens de Gameville, un peu d’histoire
Saint-Orens de Gameville tire son origine du nom d’un évêque espagnol du Ve siècle, Orentio, à qui on attribue la libération de Toulouse de la domination romaine en 438 apr. J.-C.. Romain Litorius, porté disparu aux portes de Toulouse, où il a été capturé.
La ville a été fondée le 31 décembre 1790 par trois communes, qui faisaient partie de Toulouse. Le premier magistrat de la Mairie Saint Orens de Gameville est Jean Bellières, qui a donné son nom à l’actuelle place qui abrite l’espace culturel d’Altigone.
Il est important de noter qu’en 1791, le conseil municipal approuva une somme à verser à un chirurgien pauvre et en 1818 un bureau de bienfaisance spécial fut créé.
Mairie Saint Orens de Gameville, de nos jours
La préfecture est dirigée par le Maire Dominique FAURE, entré en fonction le 18 mai 2020. Après les élections municipales de 2020, Mme Dominique FAURE, qui dirige le conseil municipal de 33 élus locaux de Saint-Orennais, en compte 62ans et sa profession est une administratrice d’entreprise de 10 employés ou plus.
